• Orphanage's Story

" BlackStar. "

Prénom (Nom) : Maeva Année : 1987 Age : 1 ans Quand : Décembre Quelques choses d'autres : une lettre pour l'orphelinat de la part d'une femme.


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• Fire's Story

• Elle met le feu à la maison de sa famille d’accueil, juste pour réessayer ce qu'elle avait fait à son lycée ( son pouvoir ) Pyrokinésie ☆☆☆ controler le feu par la pensée

Après avoir passé douze années à l'orphelinat de Philadelphie, un jeune couple, Mr et Mme Hendrix à l'apparence parfaite venaient ici-même adopté au second enfant. Cette femme particulièrement taillé avec son costume de femme d'affaire accompli et cet homme au chapeau melon, que j'affectionnais au début, me paraissait bien. Ma tutrice me présenta à eux. Ils ont tout de suite accrochés à ma chevelure révélatrice. Qui m'a fallu supporter mon surnom de "Boucle d'or" au minimum un ou deux ans avant que ma sois disant mère arrête, à cette époque. Et qui fut une de mes hontes face à mes nouveaux amis, vous voyez le genre de femme. La mère maternelle envers ses enfants... Vous l'aurez compris, j'étais adoptée par eux. Une grosse connerie que j'ai fais, pour ne pas dire non, en y réfléchissant aujourd'hui. A une semaine près, mes valises bouclées et les Adieux à mes amis de Philadelphie, j'allais vivre avec ces personnes. Je n'ai jamais voulu les appelé 'maman' ou même 'papa'. Parce que tout simplement, ce n'était pas eux mes vrais parents. Installés dans le BMW de Mr, l'ambiance était silencieuse. Tellement calme qu'on pouvait entendre le crissement des pneus sur la route. C'était flippant comme dans Shining. La femme prit enfin la parole après des heures de trajets. Je la voyais se torturer les doigts, se mordiller les cuticules. Tout ça parce qu'elle était stressée, j'en suis sûre. Et c'est encore pire quand un enfant d'un orphelinat fait de famille d'accueil en famille d'accueil, parait-il. Je suis très heureuse que tu sois ma fille, dorénavant. Et espère que tu t'entendras bien avec notre fils, Rusty. Un peu solitaire et froid, au fond il est très gentil. . Aah!... Um moi aussi. Je crois que je préfère encore qu'il y est un silence de mort, au fait. Mais je laissai, quand même, un léger sourire pour représenter ma joie face à cette nouvelle. L'homme réplique. Raaah! Tu ne peux pas t'en empêcher, Louise, à chaque fois, disait-il à sa femme. Je suis vraiment désolé, Maeva. Ma femme est un trop bavarde parfois, me dit-il. Non, non. Ça ne m'a pas gêné. Au contraire je.. je suis très contente qu'elle me l'ai dit, souriais-je. Un peu hypocrite, vous ne trouvez pas.


Cinq ans et finit par accepter le fait que c’était eux, qui allaient me donner une éducation. C’est avec eux que je vais vivre cette si belle jouissance qu’est l’adolescence (les premières discussions sexuelles entre moi et les garçons… ou pas) J’avais seize ans et était en seconde. L’école me plaisait sans merci mais coulait parfaitement. Comme bonne élève j’étais, je ne me faisait aucunement remarquer. Quand justement, ma vie quotidienne allait virer en cauchemar. Depuis quelques temps j’avais des douleurs atroces au crâne, toute la journée. Je le sentais, mon corps changeait. En classe, le professeur d’histoire géographie aussi chiant et endormant comme probablement à chaque fois. Il faisait cour devant une classe majoritairement à des jeunes qui ne voulait rien savoir sur l’époque de la renaissance etc.… Et enfin, alors que je repensais à ce matin quand Rusty – mon demi-frère – me faisait chier derrière la porte de la salle de bain, ma tête recommençait. Je fixais la poubelle et après plusieurs minutes… La poubelle, rempli de papier, s’est mis à prendre feu. Je sursautai. Me leva prissipitament pointant la corbeille avec mon doigt et dit : Mr, Mr… la poubelle est en feu.

Deuxième journée après l’accident de la poubelle. Je me souviendrai toujours de cette après-midi. J’avais sport. Comme vous savez, lui et moi, nous sommes pas forcément très amis. J’étais sortie boire et prendre l’air, quelques minutes. Ces quelques minutes furent les plus longues de ma vie.

• Discovery of who she is

• Famille fondatrice, sa mère biologique l'a abandonné, déménage pour retrouver ses parents mais trop tard, ils sont mort il y a 2 ans déjà, dans un accident de voiture.

☜ CHOSEN ☞

5 lignes au minimum Mon avis sur ce qu'il se produit, à Williamsport, c'est tout simplement grotesque. Je n'y pense rien. C'est pour moi, la réalité d'un film d'horreur. Déjà, petite à l'orphelinat, je croyais pas au père noël qui descendait le long de la cheminée. Précoce, je savais très bien que c'était un animateur déguisé en vieillard, tout simplement. Bref! Les légendes comme celle-ci, elles me font rire plutôt que pleurer, ou même à en avoir peur.