Sujet: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 14:15
ANDONIA EURYDICE STORM
c.dévotion
Bonjour, moi c'est Andonia Eurydice Storm. Je suis né(e) le beau jour du dix mai et j'ai 25 ans. Dans la vie je suis Instit en maternelle. On me dit souvent que je suis Souriante, Dévouée, Attachante, Volage, Drole, Difficile à cerner, Colérique, Cassante, Manipulatrice, les gens qui pensent ça doivent sûrement avoir raison. Il faut savoir que je suis Célibataire et que, comme toujours j'ai mes particularités qui sont J'ai besoin d'un moins un café par jour, un tatouage dans la nuque, Fume quelques cigarettes par jour, je se sépare rarement de son Ipod.
❝ something about me❞
N’aime pas le violet, ni le jaune × A une fascination sans noms pour les écharpe et en porte toujours ou presque une × A une forte tendance à l’autodérision × Se moque souvent des gens rien de méchant juste pour dédramatiser la première rencontre × A un abord assez froid et insensible × Est en réalité attachante et joviale, et un peu tarée × Déteste son second prénom et aime qu’on l’appelle Ando × Ne s’attache pas facilement au gens, et accorde sa confiance à peu de monde × A eu pas mal d’homme dans sa vie mais rien de très sérieux, de son côté × Dit n’être jamais tombée amoureuse ou ce genre ânerie × Possède unesouris blanche du nom de Poppy et un rat nommé Obiwan Kenobi × Ne fume que de temps en temps des Lucky strike et uniquement ça × Téléphone aux toilettes × Est accro à la bouffe Japonaise et peut manger des sushis matin midi et soir × Parle seule sous la bouche × Adore les enfants de 3 à 6 ans × A des côtés enfantin que peu ou aucune personne connait × A une adolescence plutôt débauché et en à garder certains côté × Est plutôt aisée × Adore les chaussures de marques ou non mais en a au moins une trentaine de paires × Se ronge les ongles tout le temps × Déteste les films pour les minettes de quatorze du genre twillight × Raffole des films d’auteurs ou un minimum profond × Est fan de comics Marvel et est incollable sur tous les héros Marvel d’ailleurs. c. mortgraphics et LJ
❝ somebody behind the screen ❞
Saluut tout le monde moi c’est chouw, 18 ans, en âge de boire et de voter la grande classe. J’ai vu Black Swan y’a pas longtemps et je suis retombée amoureuse de Nathalie Portman alors j’ai décidé de la prendre parce qu’elle est belle et adorable et qu’on peut presque tout jouer avec elle, d’ailleurs ce cher personnage est inventé de toute pièce hein. Je pense être là environ 5 jours sur 7 voire plus si vous êtes adorable donc ça sera surement plus && mon niveau en rp est .. heu Moyen on va dire pour ne as dire nul haha non assez bon je dirais. Il faut que vous sachiez que je suis une petite nympho accro à la gente masculine mais je suis pas méchante je fond devant quelques beaux acteurs et mannequins (ou tous *out*) J’ai trouvé ce merveilleux forum sur bazzart et je me suis Haan mais il a l’air trop bien alors je m’inscris et puis me voilà. Je ne pouvais pas partir sans vous dire que le code du règlement est : : to the hill run to your life Et je vous aimes déjà mes canaris laqués.
c. mortgraphics & LJ
Dernière édition par Andonia E. Storm le Sam 12 Mar - 15:23, édité 13 fois
Andonia E. Storm
Storm ♕ Crash crash, burn let it all burn
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 14:15
❝ cause my life is a story ❞
c. Dévotion
○ACTE I
Un verre de whisky glace dans la main et une clope dans l’autre, le chaud soleil du mois de juin réchauffait doucement ma nuque. Le jardin était magnifique en cette période et je profitais de ces rares moments de calme que la journée allait m’offrir pendant la réunion familiale annuelle. On appelait ça tradition, j’appelais ça torture, cette rare journée où tous les ans nous étions dans notre villa de Williamsport, ville originaire de ma mère et des Julian, assez grande pour héberger toute ma famille. Enfant j’aimais cette journée qui me permettait de voir mes cousins éloignés et de jouer avec eux, à présent mes cousins étaient soit en voyage soit indisponibles, chose qui m’étais impossible puisque la journée se passait chez moi. J’observais de loin mon père Charles Storm discutait affaire avec mon grand-père maternel Hugo Julian, les deux hommes s’entendaient assez bien du moins à chaque fois qu’ils parlaient affaires ensemble. Ma tante s’approcha discrètement de moi, me prenant ma cigarette et elle en tira quelques bouffées avant de me la rendre. Je lui souris, n’avait-elle pas arrêté de fumer depuis trois bonnes années ? Je m’étais toujours sentie très proche de ma tante, la sœur de ma mère, comme tous ceux de la famille de ma mère d’ailleurs. Cependant avec ma tante s’était différent, elle se comportait toujours comme une amie plus que ma tante, j’admirais cette femme qui malgré ses quarante-trois ans était toujours aussi belle qu’à ces trente ans, son corps svelte et ses courbes parfaitement dessinées en faisait une femme terriblement désirable pour la gente masculine, elle était toujours impeccable et donnait cette impression de femme parfaite qui avait réussi. Andonia, Querida, tu ne vas pas rester toute seule toute la journée j’espère, tu n’as rien à raconter à ta vieille tante ? Querida, ce surnom me faisait toujours sourire, c’est grâce à son troisième mari brésilien qu’elle avait pris l’habitude de m’appeler comme ça et j’adorais ça. Je n’eus pas le temps de répondre que déjà son mari, un riche homme d’affaire anglais apparu et l’embrassa dans le cou tendrement. Nous passons à table, Tara, m’a demandé de vous appeler. Le jour où ta grand-mère aura décidé de manger dépassé midi je pense que nous serons tous morts. Dit-elle en s’adressant à moi, bien allons voir si la cousine de ton père a perdu un kilo depuis la dernière fois ou… Ou en a pris 20 finissais-je amusée, c’était un jeu entre nous puisque Vevina la cousine de mon père devait avoisiner les 135 kilos et elle était à la recherche perpétuelle de l’homme de sa vie qu’elle ne trouvait jamais évidemment.
Une fois à table je fus forcé de constaté que ma tante et avions raison et que la cousine Vevina devait maintenant faire près de 150 kilos. Heureusement pour moi, elle était à l’autre bout de la table et j’avais le bonheur de me retrouver en face de Connor le meilleur ami de ma mère. Il devait frôler la cinquantaine et pourtant pas un seul cheveu blanc n’éclaircissait sa chevelure corbeau, ses yeux vert émeraude avait le don d’hypnotisé n’importe qui tant il était magnifique. J’aimais Connor, d’un amour puissant et platonique comme une enfant qui voit en lui l’homme parfait, le futur père de ces enfants, l’homme de tous ses fantasmes, n’était-ce pas lui qui le premier m’avait fait découvrir les joies interdites, qui m’avait fait gouter des substances pas vraiment légale ? Oh bien sûr, il m’avait promettre de ne pas en parler si je n’étais pas accro, que voulez-vous répondre à un homme qui était votre modèle sur terre, j’avais dit oui évidemment. Ce qui était assez drôle c’est qu’il n’était pas le seul, ma tante avait mis un point d’honneur à m’initier à toute sortes de plaisirs de n’importe quelle nature qu’il soit et la capacité de ma famille maternelle à former un clan fermé m’avait toujours fasciné. J’allumai une cigarette devant les regards réprobateurs de la moitié des invités, personne cependant n’osait réellement révéler mon acte qu’ils jugeaient irrespectueux au risque de s’y bruler les ailes. Andonia, nous sommes à table, ta fumée risque d’en insupporter plus d’un, pas tout le monde veut mourir à trente ans d’un cancer des poumons comme toi jeune fille. Qui avait eu assez de culot pour s’adresser à moi, mes yeux chocolatés balayaient la table, d’une œil vif prête à répliquer d’une seconde à l’autre. Vevina, fourchette à la main croisait mon regard et le baissa instantanément, je compris alors que c’était elle qui avait dû prendre son courage à deux mains pour ouvrir la bouche et me faire remarquer mon manque de respect, mon père contracta sa mâchoire, me regardant d’un air suppliant de ne rien répondre, ce à quoi je répondis par un sourire forcé. Ma chère Vevina, tu devrais essayer tu sais, peut-être arriveras-tu enfin à perdre cinq cent grammes, quoique pour toi, il faudrait que tu fumes trois paquets par jour pour que ça ait un quelconque effet, et pour terminer je pense que je fumerais encore quand tu nous auras claqué sur les bras suite à ton sur plus de cholestérol qui aura bouché tes artères alors je pense que tu es très mal placé pour me dire ça chère Vevina quand tu auras trouvé l’homme de ta vie qui voudra bien d’un gros tas pour femme on en reparlera mais pour l’instant… A quand remonte ton dernier rapport, deux ou trois ans ? Un silence de plomb s’installa à table, je voulais jeter un malaise et j’avais réussie. Seule ma tante me sourirait et semblait au bord du fou rire, Vevina ne disait plus rien et je n’arrivais pas à savoir si elle nous faisait une attaque ou si elle était simplement choqué. C’est la deuxième option qui me sauta aux yeux quand elle tourna la tête vers mon père dans l’espoir d’avoir un minimum de soutient, celui se contentait de me regarder avec des yeux qui laissait deviner ce qu’il pensait de ma petite intervention. Ma mère, elle, ne bougeait pas mais je crus voir se dessiner un demi-sourire envers moi, signe qu’elle me soutenait. Le clan Jullian avait parlé, je n’aurais pas de représailles. 18 ans, rebelle et asociale que j’étais ma vie commençait enfin.
○○ACTE II
Mes rétines ébène se posèrent sur la pâleur de mes mains fébriles dans un soupir furtif qui passa la barrière de mes lèvres. Je déglutissais légèrement à la vue de ces tremblements qui venaient accaparer mes mains, fourmillant de l'extrémité de mes doigts à mes poignets fins. Il ne s'agissait ni d'un stress étudiant, ni d'une angoisse passagère : le symptôme n'en était que plus perfide puisque je ne savais pas à quoi c’était dû. J’entrais dans un café relativement peu fréquenté et m’assis à une table. Je sortais nonchalamment une cigarette de mon paquet à moitié vide, la coinçant entre mes lèvres blêmes avant de l'allumer d'un coup sec. La dose de nicotine s’étendit rapidement à tout mon être provoquant, comme à l’accoutumé, un léger frisson de plaisir agréable témoignant une fois encore de ma dépendance.. Le serveur arriva, doux et savoureux serveur auquel je fis un sourire innocent et enfantin. « Vous désirez ? » « Un Whisky s’il vous plait » « Bien je vous apporte ça. » J’observai les quelques personnes assises dans le café avant de juger qu’elles n’avaient pas grand intérêt. Une femme avec son enfant en train de boire chacun un chocolat, si insouciant, ils semblaient heureux et ça m’attendrissait un peu. La porte s’ouvrit et ce fut comme si la terre semblait avoir subitement cessé de tourner, comme si quelqu’un avait interrompu la course du temps d’un claquement de doigts, avec des gouttes d’or en suspension. Une ombre, une silhouette fragile se dessinait devant moi. L'image se condensait de plus en plus sans atteindre pourtant la précision grossière de la réalité, et je pus enfin le voir, cette personne qui venait d’entrer. Je venais de me prendre une claque mentale assez violente : Sawyer. Il appartenait à mon passé, Enfin j’appartenais à son passé. Je le revoyais de temps en temps mais jamais comme avant, l’époque où nous étions si proches. Il était mon confident, mon ami et il aurait pu être bien plus que ça mais l’un comme l’autre nous n’avions jamais osé franchir le pas, sans aucun doute pour préserver notre amitié. A présent je le voyais comme une vieille photo en noir et blanc qui nous rappelle de trop vieux souvenirs pourtant pas si lointain. Mes yeux plongés dans ses rétines satinées, je cherchais mes mots tandis que ma gorge se refusait à libérer quelques paroles prises en otage. Je n'avais jamais été doué pour dire ce que je ressentais, je n'étais sans doute simplement pas né pour le dire. D'un léger soupir, mes yeux ambrés dévièrent légèrement de son visage fin avant d'y reprendre place, celle qui leur était due. J’aurais voulu que le temps s’arrête et que cet instant dure indéfiniment, chacun silencieux à observer l’autre comme deux anciens amants qui apprenaient à se redécouvrir. Il m’avait manqué beaucoup plus que je l’aurais imaginé, il me rappelait mon passé et « ma jeunesse », cet état enfantin et insouciant que j’avais avec lui, cette capacité qu’il avait à tout me faire oublier. Il n’était pas partie au bon moment, quelques jours avant que mon père meure tragiquement d’un accident de voiture, il avait disparu pas une nouvelle pendant trois ans et voilà qu’il revenait, des années après et étrangement ça me faisait du bien comme si une chose invisible venait de reprendre sa place en moi. Il avait tellement changé, je m’attardais vraiment sur chaque partie de lui que je connaissais par cœur, et une chose était sûre, le Sawyer gringalet et insouciant avait laissé place à quelqu’un de charismatique et beaucoup plus imposant dirons-nous. Un esprit sain, dans un corps sain. Je l’observais, cigarette entre mes lèvres blêmes, incapable de bouger, ma mâchoire se crispai pourquoi n’arrivais-je pas à lui parler à lui dire qu’il m’avait manqué, que j’étais perdue sans lui, il avait été mon meilleur ami, il me connaissait mieux que personne, il savait mes faiblesses, mes forces, et il savait analyser chacun de mes gestes. Je voulais me réfugier dans ses bras comme une enfant trop longtemps enfermée dans le soir, sentir la chaleur de son corps que je connaissais par cœur me rassurer et me sentir de nouveau vivante. Lui restait impassible, maîtrisant ses émotions et j’eus envie de crier, de hurler de le secouer, de m’agenouiller. Je restais impassible cependant et bus une gorgée de ma boisson puis lui sourit, il fallait que je me montre forte une fois dans ma vie que je lui dise ce que j’avais sur le cœur au moins une fois. « Je… Tu m’as manqué… », Ma voix était rauque et cette évidence, réveilla un flot de sentiment enfoui qui me submergèrent comme une vague implacable et me trouèrent le cœur. « Je… Où étais tu Sawyer ? Toutes ces années seules à t’attendre que t’ait il arrivé ? »Il baissa la tête impassible comme un enfant qui venait de se faire prendre en faute et qui le regrettait amèrement. « Je suis désolée… De ne pas avoir donné de nouvelle, de t’avoir évité, j’avais besoin de temps j'ai fait une montagne d’erreurs, je suis un monstre de la pire espèce mais ça ne m’excuse pas. Je comprendrais que tu tournes les talons, c’est ton droit le plus stricte… Mais sache une chose, Je t’aime à en mourir, tu as tout était pour moi, une sœur, une meilleur amie, une confidente. Aujourd’hui nous nous sommes éloigné et nous ne retrouverons peut-être jamais ce que nous avions et c’est ma faute mais avant que peut-être tu changes d’avis et que tu me tournes le dos ce qui serait ton droit je voulais que tu saches ça, cette chose que j’enfoui depuis bien trop de mois » Il se stoppa, et se mit à rire « ne suis pas très douée pour faire ça… laisser parler mon cœur.. » J’émis un petit rire cristallin attendrissant et il me semblait que ça faisait des jours entiers que je n’avais plus ris ainsi. « J’aimerais tant passer des moments comme ceux qu’on avait partagés au tout début. On a grandi, on a mûri, on a changé... mais ça n’implique pas forcément qu’on soit obligé de se sentir étrangers l’un envers l’autre. Il faut qu’on oublie simplement, les choses ont changé mais on est pas si différent d’avant, je te tournerais pas le dos Sawyer, tu es mon meilleur ami et je ne laisserais pas » Je lui ai souris et nous nous sommes mis à parler de la vie de nos envies, je lui appris que j’étais Professeur en maternelle, il fut ravie pour moi, lui venait d’ouvrir une boutique à Williamsport, et faisait guide à ses heures perdus. Nous parlâmes ainsi jusqu’à la fermeture du bar. Il m’avait manqué et même si j’ignorais les motivations qui l’avait fait revenir après trois ans je m’en fichais, il était là c’était le principal.
○○○ACTE III Les doigts longs et fins de ma main posée sur le mur de glace glissaient sur cette surface transparente, mon épiderme fut parcouru de frissons. Mon visage, d’une pâleur porcelaine, ruisselait sous la lumière de la lune-mère, ce doux visage rond, brillant et bienveillant qui gouvernait le ciel une fois la nuit tombée et traversait la maigre vitre scintillante de ma chambre pour venir éclairer mes traits carnassiers en m’aveuglant partiellement. L’alcool se propageait dans mon sang trop liquide à une vitesse folle, faisant monter la chaleur d’un feu ardent dans mon corps osseux. La sueur perlait sur mon visage fatigué tandis que je glissais doucement le revers de ma main sur mon front bombé. Le monde semblait tourner sous mes pieds, j’aimais cette sensation enivrante de légèreté, cette divine impression que plus rien n’est comme avant, que l’univers et ma perception de la vie se trouvaient totalement chamboulés, qu’une autre personne faisait son apparition au sein de mon corps. C’était à cette sensation que je me droguais plus qu’à l’alcool lui-même, c’était ça ma réelle dépendance. Je glissai mon regard injecté de la ville à la voie lactée. Cependant mon observation astrale était brouillée, la vitre dessinait en effet sur sa mince glace les traits de ma personne. Mon visage couleur porcelaine me semblait d’une maigreur accablante, une imperceptible auréole entourait mes yeux ébène. Perché dans ma tour d’argent, j’étais isolée une fois de plus de tous, désireuse de garder ce soir l’alcool que j’avais assimilé, pour seul compagnon. Mes mains brulantes et incandescentes serraient le verre de whisky à en avoir des crampes. Pour la première fois de ma vie j’avais peur, peur de ce que j’étais, peur de ce qu’il m’arrivait. Je me tournais finalement vers l’intérieure de ma chambre et m’assis sur mon lit, la respiration cadencé comme une musique rodée que l’on écoute pour se calmer, j’allumai fébrilement mon briquet et une nouvelle fois le phénomène se produisit, une boule de chaleur se forma dans ma main allé s’écraser contre le mur avec une violence atroce. J’émis un petit cri et fondit en larmes, jetant le briquet au loin. La légende était-elle vrai ? Ma grand-mère étant enfant m’avait raconté qu’un ancêtre de ma famille maternelle, une certaine Emmy Fitzgerald avait fait partie de ceux qui avait enfermé la bête, il y de cela des siècles. Je n’y avais jamais vraiment cru … Ce n’est qu’une légende Urbaine stupide que l’on me contait dans mon enfance. Jusqu'à il y quelques jours elle m’était même sortie de la tête jusqu'à ce que l’incident arrive, cette « capacité » à contrôler le feu même si contrôler est un bien grand mot. Ma grand-mère était présente à cette époque et m’avait fait comprendre que j’étais une élu que comme mon ancêtre j’étais vouée à veiller à ce la bête reste enfermé et à faire reculer les démons s’il le fallait. Sur le coup ça m’avait fait bien rire. Ma vie était parfaite comme elle était, un métier qui me plaisait, des amis, des collègues, et quoi je devais limite tout abandonner pour courir à la recherche d’un stupide couteau... Il en était hors de question. Alors je vis à Williamsport en toute intimité me faisant le plus discrète possible, je ne veux pas que l’on sache que je suis l’une des élus, je veux ne vie normale rien de plus et qu’on me laisse tranquille avec cette histoire de démons.
❝ i think i'm awesome ❞
☜ Chosens ☞
Le fait que je me sois découvert le don de pyrokinésie et que je sois par la même occasion l’une des élues ? La bonne blague, ma vie était très bien avant et je veux qu’elle le reste ainsi et ce n’est pas parce que je suis la descendante d’un peuple qui combattu je ne sais pas trop quel créature il y des années qu’il faut que je crois en ces absurdités, d’élues etc… Oui certes j’ai un don, Disons que j’ai toujours tendance à m’emporter très … rapidement alors évidemment la pyrokinésie et venue comme une évidence d’un certain coté mais sérieusement je m’en serais bien passé de ce … magnifique ? don je veux juste une vie normale et pas cette guerre entre le bien et le mal je suis qu’une simple enseignante rien de plus et je ne veux rien d’autre. Alors je vis dans l’ombre, les autres ne savent pas que j’existe pour l’instant mais je me ferais remarquer un jour ou l’autre vu que mon don est … incontrôlable et que je suis comme qui dirait un briquet vivant, super remarque hein, je crée pas le feu je le contrôle seulement au passage … enfin contrôler est un bien grand mot, je ne suis pas née pour être un héros ou un truc du genre loin de là c. mortgraphics
Dernière édition par Andonia E. Storm le Sam 12 Mar - 15:57, édité 12 fois
Grayson A. Hoffman
GRAYSON ★ i survive on the memory of you
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 14:16
Bienvenue NATALIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE Bonne chance pour ta fiche et si tu as des questions, n'hésites pas
E. Samuel Ewey-Vargas
N'AMOUR ★ cause i love you darling ♥
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 14:17
NATALIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEUUUUUUUUUUH Bienvenue x) Bonne chance pour ta fichounette (a)
Andonia E. Storm
Storm ♕ Crash crash, burn let it all burn
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 14:28
Wahouuuuu mais quel accueil deux jeunes et charmants jeunes hommes pour moii toute seuule Graouuu (a)
Grayson A. Hoffman
GRAYSON ★ i survive on the memory of you
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 16:11
MDRRR perso, toujours là pour accueillir les jolies filles (a)
Avery C. Baldwyn
FEAR ★ I won't do what you tell me
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Mer 9 Mar - 17:22
PORTMAAAAAAAAAAAAAAAAN. *______________________*
*tousse* bref. Bon courage pour ta fichounne !
Andonia E. Storm
Storm ♕ Crash crash, burn let it all burn
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Jeu 10 Mar - 16:19
MINKAAAAAAAAA Oui j'aime bien faire les groupies (a)
Et oui je me met à mon histoire oui oui (a)
Andonia E. Storm
Storm ♕ Crash crash, burn let it all burn
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Sam 12 Mar - 14:54
Mmh désolé pour le DP j'ai terminée ma fichette
Eöween P. Foster-Lee
EÖ•COME ON SHOOT ME
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Sam 12 Mar - 15:13
ouuuh, Natalie est parmi nous Bienvenue et bon courage à toi miss
Avery C. Baldwyn
FEAR ★ I won't do what you tell me
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Sam 12 Mar - 15:32
J'aime beaucoup ta fiche. Néanmoins, pourrais-tu corriger les petites fautes - d'inattention pour la plupart - ? Après, nous passerons à la validation.
Andonia E. Storm
Storm ♕ Crash crash, burn let it all burn
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Sam 12 Mar - 15:59
SHAMEONME Je suis désolée et j'ai honte des fautes honteuse que j'ai fait heuu y'en avait pas plus de cinq non j'ai tout repasser sur word normalement tout est Ok
Avery C. Baldwyn
FEAR ★ I won't do what you tell me
★ Freaking, fucking surnaturel :
Sujet: Re: Andonia ◘ God save the queen Sam 12 Mar - 16:11
CONGRATS, TE VOILA VALIDE par le merveilleux staff de DITD
Il y a encore quelques fautes mais c'est OK. C'est une très bonne fiche et pour les fautes, tout le monde en fait (moi la première XD), mais n'hésite pas à aller sur le correcteur orthographique BonPatron par exemple ! <3
Ton personnage sera ajouté à son groupe, quant à toi, il te reste quelques petites étapes à accomplir avant de pouvoir jouer correctement sur le forum ★ Pense à aller recenser ton avatar dans le bottin du forum, c'est important si tu ne veux pas te faire voler ta jolie célébrité ! ★ N'oublie pas aussi de générer ta fiche personnage, en allant dans ton profil, en cliquant sur "★ Freaking, fucking surnaturel" puis sur "générer". Une fois ceci fait, n'oublie pas non plus d'aller la personnaliser selon l'expérience de ton personnage.