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| BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? | |
| Auteur | Message |
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BB ♔ What if I feel...
| Sujet: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:17 | |
| BAMBY BONNIE DONOVAN c. tumblr Bonjour, moi c'est Bamby Bonnie Donovan. Je suis née le beau jour du 8 Mai 1992 et j'ai 19 ans. Dans la vie je suis sans emploi ou bien chômeuse. On me dit souvent que je suis débrouillarde, fragile, observatrice, lunatique, parfois courageuse et perdue, les gens qui pensent ça doivent sûrement avoir raison. Il faut savoir que je suis célibataire et que, comme toujours j'ai mes particularités qui sont que je fume comme un pompier, que je maquille de noir mes yeux, que je suis je-m'en-foutiste, que je me retient beaucoup de me ronger les ongles et que je me suis échappée de mon hôpital psychiatrique. ❝ something about me❞ Bamby est fière de son prénom depuis qu'elle a vu le film du même nom parce que c'est un faon très courageux ♔ Bamby fume comme un pompier, elle ne peut pas s'en empêcher, il lui faut une clope régulièrement ♔ Bamby a été jugée bipolaire il y a quelques années et a été placée dans un hôpital psychiatrique ♔ Bamby ne peut s'empêcher de s'arrêter devant les commerces près d'elle pour passer un certain temps à observer la vitrine ♔ Même si elle semble simple d'esprit Bamby est en réalité très intelligente et aurait pu continuer son cursus scolaire si seulement elle n'avait pas finit dans cet hôpital ♔ Bamby porte des marques aux poignets, cicatrices du passé ♔ Ayant été enfermée des journées entières, la jeune femme a développé son talent en dessin ♔ Bamby ne sait absolument pas se servir d'une quelconque arme qu'elle pourrait juger inutile ♔ Bamby ne peut pas se lever le matin sans avoir éteint et rallumé trois fois la lumière, question de sécurité d'après elle ♔ Bamby avait un chien à l'hôpital psychiatrique qu'elle a réussit à sortir avec elle, il s'appelle Max' et c'est un grand labrador ♔ Amusée de tout, Bamby peut rigoler à n'importe quoi comme elle peut être prise d'une peur subite pour la personne devant elle lorsqu'elle tombe ♔ Elle n'est pas en période de dépression en ce moment, on peut dire que Bamby va... Plus ou moins bien ♔ N'ayant pas un sous sur elle, Bamby dort dehors et vole pour manger, elle attend juste de tomber sur la personne qui voudra bien l'aider sans tenir compte de ses problèmes ♔ Bamby a confiance en la première personne venue mais peut très bien la rejeter si elle sent quelque chose de mauvais émaner d'elle ♔ Bamby ne peut pas dormir sans avoir une petite peluche avec elle, une peluche qu'elle avait toute petite et qu'elle a gardé précieusement toutes ces années durant ♔ c. BADBOOM
❝ somebody behind the screen ❞
Dernière édition par Bamby B. Donovan le Dim 13 Mar - 19:34, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:17 | |
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❝ cause my life is a story ❞ c. tumblr FIRST CHAPTER; Bamby a perdu sa maman… « STOPPEZ-MOI CA ! STOPPEZ-MOI CETTE PUTAIN D’HEMORAGIE ! ON EST EN TRAIN DE LA PERDRE ! »
Tout le monde s’affairait autour de la jeune femme allongée sur la table d’accouchement. Les médecins courraient et venaient, ils approchaient les ustensiles afin de sauver la jeune femme tendit que la sage-femme emmenait bien loin le petit être tout juste né. Il pleurait à chaude larmes depuis son arrivée au monde, couvert d’une couche de sang éparse répartie sur son corps entier. Dans le même temps, les médecins se répartissaient la tâche difficile de sauver la jeune mère allongée sur la table d’opération. Ils ont fait tout leur possible pour la sauver, ils ont tout fait pour l’aider, ils ont tout fait pour la réanimer… La jeune femme venait d’avoir vingt-cinq ans et avait décidé d’avoir un enfant avec l’homme de sa vie. Les complications qui l’avaient empêché de continuer à bouger pendant les derniers mois de sa grossesse ne l’avaient pas stoppé car elle voulait réellement cette petite fille dont elle avait trouvé le prénom dés qu’elle avait appris qu’elle était enceinte. Bamby. Bamby Bonnie Donovan. Un prénom qu’on aurait pu juger ridicule si on ne savait pas les raisons pour lesquelles ont avait décidé de nommer la petite fille ainsi. Bamby était un prénom doux, adorable et synonyme de courage alors même si Bamby était le prénom d’un pauvre petit faon qui a perdu sa maman et qui est perdu… Sur la table d’opération la jeune femme ne rouvrit plus les yeux… Plus jamais… Le destin tragique du jeune faon s’est détourné vers la petite fille qui alors cessa de pleurer, choyée par les sages-femmes qui se rendaient enfin compte de la vérité qui allait frapper la petite fille lorsqu’elle prendrait conscience de ce qui s’est passé ce jour-là… Bamby a tué sa mère lorsqu’elle est venue au monde…
« Papa… Où est maman ? ». Bamby passa sa jeunesse dans la petite ville de Dayton dans l’Indiana. Dans une petite maison de banlieue en compagnie de son père qui a toujours refusé de lui dire ce qui s’était passé ce fameux jour de sa naissance. Il avait peur… Il était terrifié sûrement et c’est pour cette unique raison qu’il avait toujours répondu la même chose à la petite fille aux grands yeux bleus qui l’observait comme s’il était le roi du monde et qu’il n’y avait que lui… « Ta maman est partie au ciel… ». Partie au ciel ? C’est bien ce qu’on dit aux enfants lorsqu’on ne sait absolument pas quoi dire pour expliquer la disparition tragique d’un être aimé… S’il lui en voulait vraiment pour ce qui s’était passé dans cette salle d’accouchement quelques années auparavant ? Oui et non… Il avait mis des mois à se remettre de la chose, demandant à sa sœur de s’occuper de la petite Bamby afin de savoir ce qui allait se passer pour elle, s’il allait décidé de la garder et de lui cacher toute sa vie ce qui s’était passé ou bien allait-il la mettre à l’orphelinat parce qu’il ne pouvait pas supporter de vivre avec elle en sachant qu’elle était presque celle qui avait assassiné sa femme. Après tout, c’était plus ou moins la vérité si on y réfléchit bien… Si seulement elle n’était pas née, sa femme n’aurait jamais perdu la vie alors c’était peut-être sa faute d’un côté… Et pourtant, après deux mois sans voir l’enfant, il avait décidé de la garder parce qu’après tout, elle n’était absolument pas responsable de ce qui s’était passé, elle n’y pouvait rien, le destin avait frappé comme ça, il devait rester fort et garder cet enfant alors chaque jour, lorsqu’il attendait sagement dans la cuisine que la petite fille descende d’elle-même les marches, il repensait aux derniers mots qu’il avait dit à sa femme, lui promettant que même sans elle, il s’occuperait toujours de leur fille et il découvrait son visage, ses cheveux bruns ondulés autour de son visage, ses beaux yeux bleus et voyait pendant l’espace de deux secondes le visage d’un ange et comprenait le choix qu’il avait fait : Cette gamine avait exactement les mêmes traits que sa mère. Le portrait craché de cette femme qu’il avait toujours aimé… Elle était sa mère en plus jeune, grandissant petit à petit auprès de lui, faisant renaitre le fantôme de l’amour de sa vie dans la maison familiale comme si elle n’avait jamais quitté le monde… Devenait-il fou de croire que cet enfant était l’incarnation de sa femme décédée venue pour combler ses peines ou bien était-ce quelque dieu qui l’avait envoyée en cette terre pour lui ?
Les années passant, Bamby apprit à vivre sans une mère à la maison. Elle apprit à faire tout ce qu’une femme peut faire : Coudre, faire la vaisselle, cuisiner, laver le linge et ce en compagnie de sa tante qui passait régulièrement pour voir comment vivait la petite famille. Son père, quant à lui, restait toujours présent auprès d’elle, comblant parfois bien intensément l’amour maternel inexistant en la pressant contre lui dés qu’il en avait l’impression mais qu’importe, elle avait apprit à aimer ce genre d’attention, se disant qu’après tout, il agissait peut-être ainsi parce qu’il voulait ne pas la perturber de l’absence de sa mère et qu’elle reçoive quand même de l’amour des gens autour d’elle… Mais tout commença à changer lorsqu’elle entra en primaire et qu’elle découvrit que si son entourage direct comprenait qu’elle n’ait pas de mère, ce n’était pas ce qui pouvait se passer pour ses petits camarades de classe qui ne comprenaient rien de rien. Les observant tendit qu’elle remettait en place sa jupette d’écolière, elle se demandait souvent pourquoi il fallait que les autres aient une mère et pas elle. Qu’avait-elle fait pour ne pas mériter la présence d’une figure maternelle sa vie alors que les autres pouvaient profiter d’une gentille maman qui leur faisait un bisou tout les matins après leur avoir lâché la main pour qu’ils se ruent dans l’école. Elle observait ces au revoir du coin de l’œil tendit que ceux-ci, lorsqu’ils la remarquaient, lui tiraient la langue et lui faisaient un regard mauvais pour lui faire comprendre qu’il n’était pas temps de monter un petit complot pour leur voler leur maman parce que ça ne marcherait pas. Pendant la récréation elle préférait donc rester assise sur un banc, seule, ses mains posées sur ses genoux, observant les autres enfants jouer tous ensembles sans se soucier une seule seconde de la petite fille assise seule…
« Monsieur Donovan… Nous avons observé votre fille durant toute son année scolaire et nous avons observé deux choses : Elle a, certes, des résultats scolaires excellents dus à une grande régularité de son travail et son dynamisme en classe mais nous avons aussi observé qu’elle restait très souvent seule lors des pauses… Elle reste toujours seule, elle ne parle à aucun de ses camarades… Elle est comme… Perdue… Sait-elle pourquoi elle n’a pas de mère ? ». La question avait fusée de la bouche odieusement maquillée de la principale de l’école primaire de Dayton. Lorsqu’elle souriait, elle avait un trait peu discret de rouge flashy et ses dents jaunies par l’abus de cigarettes la rendaient que plus caricaturale. Elle portait des lunettes rouges de la même couleur de son rouge à lèvre et un tailleur stricte tout droit sortit de chez le teinturier, changé chaque jour, un tailleur pour chaque jour de la semaine pour être plus précis. Elle représentait la sévérité dans cette école, le sérieux, la discipline et aussi la franchise sans la langue de bois. Elle était la femme redoutée par tous les mauvais élèves ainsi que redoutée par les parents trop sensibles. Elle avait à son actif quatre parents en pleurs sortant de son bureau et voilà donc le jour fatidique de la rencontre entre elle et le père de cette petite bizarre de Bamby. Elle le savait depuis le début que cette gamine était étrange, un genre d’ovni tout droit venue de la planète mars alors il faudrait bien qu’un jour elle voit son père pour remettre les pendules à l’heure parce qu’après tout, être sans mère n’excuse pas tout ! Merde ! Elle pouvait quand même se faire des amis cette gamine alors hein ! Elle ne voulait pas qu’on dise qu’il y avait une timbrée dans son école primaire ! « Bien sur… Elle sait que sa mère est décédée… ». Tiens… Elle sait donc que sa maman est montée au ciel. Portant son regard sur la petite fille assise juste à côté de son père, la principale descendit ses lunettes sur son nez afin d’observer la réaction de la fillette. Rien. Nada. Que dalle ! Ce qui voulait dire une chose : elle était bel et bien au courant que sa mère avait clamsé ! Bien, c’était peut-être ce qui expliquait son problème avec les autres ! Elle remonta ses lunettes et se tourna vers le père qui lui adressa un sourire franc, ses mains moites jointes ensembles. « Bien… C’est bien… Sait-elle donc que sa mère est décédée à cause d’elle ? ». Tout se figea alors dans la salle tendit que Bamby réalisait ce qui se passait ici. Son père la regarda et le regard de la principale suivit son chemin pour qu’ils regardent à l’unisson la petite fille âgée alors de huit ans. Quoi ? Qu’est-ce qu’elle avait bien pu faire ? « J’ai fait du mal à maman ? ». Silence. Trou noir.
SECOND CHAPTER; Lorsque tout s'effondre... « Voilà à peu près tout ce dont je me souviens… Vous savez, j’ai pas beaucoup de souvenir de quand j’étais petite mais je crois que c’est depuis ce jour que… Bah… Je suis… Pas normale… ». Baissant les yeux, la jeune femme soupira. Elle n’en revenait pas d’avoir à expliquer à un parfait inconnu sa vie depuis le début seulement parce que… Parce qu’elle… Rien… Pas besoin d’aggraver son cas de toute façon, elle était dans un hôpital psychiatrique alors elle passait déjà pour une grosse tarée alors bon… Croisant ses doigts, Bamby se permit enfin de rouvrir les yeux et de les porter sur la femme en face d’elle. Blonde, dans la trentaine, des yeux qui ne jugent pas, elle restait stoïque comme à chaque fois qu’elle se permettait un moment de solitude. Ici on ne juge pas, c’est la règle alors elle avait bien le droit de fumer comme elle le voulait, pouvait décider de stopper la séance lorsqu’elle n’arrivait plus à raconter sa vie… Elle était totalement libre… Une chance après tout ! « Bamby… Tu sais… Je crois que tu devrais te reposer… On a déjà fait un grand chemin alors on continuera demain… Sache que je suis fière de ce que tu as fait aujourd’hui… » ; Se redressant, Bamby se permit un sourire vers la femme qu’elle voyait depuis quelques mois déjà… Elle était plutôt sympathique comme femme et elle avait beaucoup de patience avec elle. Regagnant sa chambre, Bamby se permit un regard vers les autres personnes habillée dans la même tenue qu’elle, certaines sourirent, d’autres la regardèrent étrangement mais aucune ne manifesta de la violence. Personne n’était méchant ici… Personne…
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« J’ai du mal à maman ? ». La question raisonna quelques minutes dans la salle de petite taille et peu meublée. Elle avait hurlé, prononçant pour la seconde fois cette phrase alors que son père ne se décidait toujours pas à ouvrir la bouche pour lui répondre. Tout le monde semblait s’effondrer autour d’elle alors qu’elle commençait à réaliser la vérité : Sa mère n’était pas montée au ciel sans souffrir, dans la paix… Non, sa mère était montée au ciel à cause de souffrance qu’ELLE, Bamby, lui avait infligé elle ne savait pas trop comment ! C’était quoi ce bordel ?! Sentant son esprit s’embrouiller, la petite fille commença à pencher la tête en avant, ferma les yeux et passa ses mains sur son visage. Elle ne comprenait rien, il fallait que ça s’arrête, maintenant ! C’est à cet instant qu’elle leva les yeux et observa son père avec haine avant de venir le taper de toutes ses forces en lui hurlant au visage toutes sortes d’insultes dont elle ne savait même pas la provenance. De son côté, offusquée d’un tel comportement venant d’une petite fille, la principale ouvrit de grands yeux et porta ses mains à ses lèvres avant de pousser un petit cri et de dire à Bamby de s’arrêter. Pourtant elle n’entendait rien, strictement rien, c’est alors qu’elle sentit la poigne serrée des mains de son père sur ses poignets et fut stoppée nette dans sa violence. Elle se jeta sur lui, venant mordre de toute ses forces sa main. La douleur ne se fit pas attendre et il poussa un cri tendit que la petite fille se libérait et observait ce qu’il y avait autour. On aurait dit une folle furieuse, un animal, elle bougeait la tête frénétiquement de gauche à droite et de droite à gauche et commença a prendre des choses ça et là pour les jeter au sol sans ménagement. Elle prit la lampe ancienne qui figurait comme un trophée et la jeta au sol, des cadres photos, le bureau, tout finit bientôt à terre avant que le père se reprenne enfin et attrape Bamby et la plaque au sol. Face contre terre. Elle se mit à hurler de toutes ses forces, son cœur battant à la chamade avant de ne plus bouger. Elle pleurait… Les larmes roulaient sur ses joues en abondance sans qu’elle ne puisse se contrôler, elle n’en pouvait plus, elle voulait partir d’ici… Elle voulait s’enfuir… Elle voulait mourir… Elle avait fait du mal à sa mère…
Depuis cet épisode, Bamby ne fut plus jamais la même personne. Oscillant entre la joie et la peine, la très grande dépression qui vous amène au fond du gouffre et la très grande joie qui vous monte tout droit vers le ciel. Elle ne savait même pas comment tout ce se passait, c’était juste que… A l’annonce de quelque chose, elle commençait à changer, à prendre la nouvelle, à l’analyser, à la décrypter et alors tout change… Elle commence à sourire, à relever les yeux et à pousser un petit cri et puis elle saute sur ses deux jambes et saute partout comme une petite fille… Dans le meilleur des cas… Sinon elle se mettait à pleurer, son visage d’ange se décomposant à une vitesse folle tendit qu’elle sentait son cœur se mettre à battre à un rythme intense et qu’elle commençait à sentir sa tête devenir bien lourde sous son propre poids. Elle continua donc ses études dans un autre établissement que celui où a eut lieu le massacre du bureau de la directrice qui avait d’ailleurs cru bon de porter plainte et avait laissé une belle amende à payer au père de Bamby. Celui-ci ne comprenait rien à la situation de la fille qui grandissait de jour en jour, se disant que peut-être, demain ça passerait et il ne serait pas obligé de l’emmener voir un « spécialiste » comme il préférait les appeler… Un psychologue… C’était trop dur pour lui d’admettre que sa fille était trop fragile psychologiquement pour tenir sans aide mais qu’importe, elle continuait son chemin… Après tout, c’était de sa faute si sa fille connaissait ce genre de hauts et de bas, il ne lui avait pas dit ce qu’il s’était passé, elle ne savait pas pour sa mère… Elle aurait du savoir… Elle aurait du être au courant bien avant. Les années passèrent… Dix ans, douze ans, quatorze ans…
Et c’est alors que ça arriva… Elle était là, assise à regarder la télévision dans le calme, dans un état d’esprit plutôt normal comme il était rare de la voir ainsi… Apaisée. Elle regarda la télévision avec un calme presque magistral et c’est à cet instant précis que son père s’approcha d’elle et vint s’asseoir à ses côtés. Il ne semblait pas différent de d’habitude, il était plutôt calme lui aussi, une bière à la main. Elle se permit donc un sourire en sa direction avant de le regarder et de reporter bien vite toute son attention sur le petit écran. Elle ne vit donc pas la main se glisser sournoisement sur sa cuisse comme si de rien n’était et dés lors qu’elle sentit son contact, elle ne pu s’empêcher de pousser un petit cri avant d’observer celle et de regarder son père. Deux secondes lui suffirent pour changer de personnalité et oublier totalement son calme précèdent pour se lever et commencer à taper son père. Elle lui donna un coup violent dans le ventre et tapa de toutes ses forces dans sa mâchoire avant de se lever comme une furie de l’attraper et de le jeter contre la table basse. Se rendant enfin compte de ce qu’elle venait de faire, la jeune femme ouvrit de grands yeux avant de porter ses mains à sa bouche avant de se mettre à pleurer, se rendant compte que son père était inconscient. Elle se mit à courir à toute vitesse vers le téléphone le plus proche et composa frénétiquement le numéro de téléphone du SAMU afin qu’ils viennent chercher son père qui était toujours allongé sur le sol. Elle s’agenouilla finalement auprès de son géniteur, regardant ce qu’elle avait fait, regardant ses mains sans savoir réellement ce qui s’était passé. Elle avait vu ce qu’elle faisait, elle savait qu’elle avait fait ça d’elle-même, elle était consciente à cet instant précis mais c’était comme si elle ne pouvait pas s’en empêcher, comme si la violence de ses gestes ne pouvait être réfréné parce qu’elle n’avait plus le contrôle sur ses bras ou sur ses mains… Elle aurait tellement voulu que tout ceci ne soit qu’un rêve et pourtant c’était bel et bien la réalité… Elle venait de comprendre qu’elle était bel et bien malade, qu’elle avait un problème dans sa tête, que quelque chose n’allait pas dans le bon sens… Comme si une pièce du puzzle était mal emboitée et qu’ainsi tout l’ensemble était tellement branlant qu’il menaçait de céder à chaque seconde… Son père allait à l’hôpital par sa faute, elle en avait conscience à présent, il fallait faire quelque chose tant qu’il en était encore tant, avant qu’elle ne perde vraiment les pédales et ce pour de bon…
THIRD CHAPTER; Retour à la source... « Bonjour Bamby… Ici nous sommes à un centre qui va t’aider à aller mieux… Ne t’inquiète pas pour ton père, il va très bien et toi aussi… Je suis Catherine et je serais ta psychologue… Je vais t’accompagner le temps de ton séjour parmi nous… Et voici ta chambre… ». La pièce était modeste, les murs étaient peints d’un blanc ocre comme dans les chambres d’hôpital… Enfin, ce n’était pas comme si on n’était pas dans un hôpital comme les autres, il n’y avait qu’une seule chose qui changeait : Le fait que l’hôpital en question n’avait aucun patient qui souffrait d’un mal physique… Non, ce serait trop simple… Ici étaient répertoriés de grands spécimens de malades mentaux… Comme elle… Des frères et des sœurs de cœur ! Tous dans la même galère. Depuis l’aventure avec son père, celui-ci avait décidé de prendre le taureau par les cornes et de l’envoyer directement dans un centre spécialisé, d’après ce qu’elle savait, il était situé plutôt loin de la maison. Pour plus de sécurité, son père lui avait bandé les yeux pendant tout le trajet, elle avait donc pu déduire qu’elle avait fait un long chemin, au moins changé d’état d’après ce qu’elle savait de la longueur de l’Indiana… Elle qu’elle avait roulé vers New York… Et ça elle n’en était même pas sûre… Il avait dit que c’était parce qu’il ne fallait pas qu’elle panique et qu’elle souffre ou qu’elle change d’humeur dés qu’elle verrait quelque chose qui toucherait son esprit… Il avait sûrement trouvé le meilleur moyen pour lui faire comprendre au mieux qu’elle était bel et bien une folle dingo ! Enfin, ce n’est pas comme si elle ne le comprenait pas… Après tout ce qui s’était passé à la maison, elle ne pouvait que le comprendre ! Elle devait changer, maintenant…
C’est ainsi qu’elle se donna à fond dans son travail avec sa psychologue… Elle était là et tout les jours où elle avait consultation, elle venait et tentait de parler pourtant… Pourtant elle n’arrivait à rien… C’était comme si un paravent noir lui barrait le chemin et l’empêchait de parler à haute de voix de ce qui se passait dans sa tête… Alors elle passait son temps à dessiner ce qu’elle ressentait… Faisait des ronds noirs pour montrer l’idée de flou total dans lequel elle se trouvait et c’est ainsi qu’ensembles elles avançaient, tâtonnaient… Les mois passaient, les années aussi et Bamby continuait son long chemin vers la guérison. Elle avait commencé à l’âge de dix-sept ans à parler enfin de ce qu’elle ressentait, à pouvoir mettre des mots sur ce qu’il se passait lorsqu’elle avait des problèmes de comportement. Elle se demandait ce qu’il se passerait lorsqu’elle finirait par sortir et trouva même la compagnie d’un chien qu’elle nomma Max’. Il est arrivé un jour où elle prenait le soleil, assise sur un banc dans le jardin de la propriété de l’hôpital. C’était un magnifique labrador couleur sable plutôt jeune qui avait néanmoins atteint sa taille adulte. Elle l’observa s’approcher en catimini avant de le voir poser sa tête sur le banc et de l’observer. Elle se mit à sourire de bonne grasse devant la bouille adorable de l’animal et passa sa main sur sa tête dans une caresse timide. Il ne semblait appartenir à personne, il se baladait juste, perdu, seul et à la recherche d’une certaine affection. Il lui ressemblait un peu ce chien… Il était comme elle, perdu, il recherchait de l’attention, de l’affection et ne trouvait rien de cela alors il errait comme un loup en cage, tentant vainement de trouver un but à la vie sans quelqu’un pour l’accompagner… Finalement elle avait demandé l’autorisation à son psychologue et à l’administration de le garder et avait finalement obtenu l’accord des deux… Elle nomma donc l’animal Max’ et dés lors elle le garda auprès d’elle à chaque instant, comme un compagnon fidèle qui la protégeait dés qu’elle bougeait et la rassurait la nuit lorsqu’elle faisait un cauchemar horrible. Max’ était là à chaque instant de son retour à la vie normale, il était là pour lui montrer qu’elle pouvait être forte, il était aussi là pour lui prouver qu’en étant accompagnée d’un ami fidèle, on pouvait tout accomplir.
La jeune femme passa donc toute son adolescence dans cet hôpital psychiatrique, se sentant bien dans cet endroit plutôt calme et apaisant, ne voulant même plus partir parce qu’après tout, elle y avait formé ses repères, ses habitudes, ses relations… Elle ne pouvait maintenant plus se lever sans son petit déjeuné de ministre composé d’exactement les mêmes choses chaque matin : Deux tartines de pâte à tartiner, un bol de chocolat chaud, un verre de jus d’orange et ses médicaments qu’elle prenait régulièrement. Elle ne pouvait plus quitter sa chambre où elle avait grandit, qui était à son image à présent. Il n’y avait plus ces murs blancs hideux et détestables, elle avait décidé un jour de les peindre en mauve et ça donnait tout de suite quelque chose de plus agréable, de plus… Personnel… Toute son identité était dans cette chambre : Son lit à elle qu’elle faisait tous les matins, le panier de Max’ tout proche du lit pour ne pas le chercher la nuit, sa table de chevet avec sa lampe et ses livres du moment, son bureau rangé impeccablement, son armoire, sa bibliothèque, ses dessins… Tout était devenu parfait pour elle, elle était dans son environnement. Elle avait même eut le droit récemment à la visite de son père qui avait été appelé par la psychologue qui avait décrété qu’à présent elle était assez forte pour voir son père et affronter en face ce qu’elle avait fait. Elle s’était donc excusée pour ses actes et lui avait présenté son chez elle, son animal de compagnie, disant qu’elle allait le ramener lorsqu’elle pourrait rentrer à la maison… A Dayton… Mais pas maintenant, il en était hors de question, elle ne se sentait pas encore forte… Même si aujourd’hui elle était âgée de dix-neuf ans… Elle ne pouvait pas partir maintenant, elle avait encore besoin de cette endroit qui lui donnait confiance en elle, où elle se sentait en sécurité… Vous avez dit sécurité ?!
FOURTH CHAPTER; L'âme en peine erre sans chemin... La nuit était tombée depuis un certain temps sur le centre où vivait Bamby. La pénombre avait repris ses droits et elle ne voyait plus rien à part la forme indécise des objets dans sa chambre. Naturellement, elle savait très bien ce qu’étaient ces formes étant donné qu’elle connaissait par cœur la pièce dans laquelle elle se trouvait. Son chien allongé avec elle dans le lit, Bamby tentait vainement de s’endormir. Un bruit se fit alors entendre dans le couloir… Un bruit de tablette en fer qui heurte le sol si elle entendait bien… Elle se redressa d’un coup avant d’entendre le bruit d’une discussion animée au-dehors de sa chambre… Curieuse elle se lever en silence et s’approcha de la porte avant de coller son oreille tout contre, seulement quelques mots de l’échange lui parvinrent mais elle reconnut la voix d’un patient qu’elle côtoyait régulièrement ainsi que la voix d’un infirmier de ronde, sûrement était-ce lui qui avait lâché par inadvertance sa tablette. « Réduire l’humanité en cendres… ». Voilà tout ce qu’elle pu entendre avant d’entendre un cri étranglé par la douleur… Puis quelqu’un s’effondrer… La jeune femme se mordit la lèvre avant de baisser les yeux vers la poignée… Elle ne savait pas vraiment ce qu’il fallait faire en cas de meurtre de patient par les employés… C’est alors qu’elle entendit quelqu’un frapper à une autre porte… Une alarme fut bientôt déclenchée dans tout l’immeuble et elle entendit une série de porte s’ouvrir et les voix tendues des patients qui reconnaissaient l’alarme incendie et comprenaient qu’il fallait sortir de la chambre pour rejoindre les infirmiers de service… Pourtant elle ne sortit pas et Max’ s’approcha bientôt, lui donnant un léger coup de museau dans la cuisse avant de tirer son pantalon pour lui faire comprendre qu’il ne valait mieux pas sortir… Le silence s’était fait alors dans les couloirs… La salle principale n’était pourtant pas très loin et elle n’entendait strictement rien… Un silence de mort régnait dans les bâtiments et puis… C’est alors qu’une série de coups de feu se firent entendre… Des hurlements aussi… Elle ne pu s’empêcher de porter sa main à sa bouche pour retenir un cri d’horreur… Que se passait-il ici bordel ?! Ils étaient en train de fusiller tout le monde ou quoi ?! Elle attendit longtemps, écoutant avec effroi les cris des gens, les cris de douleur et de peur, les gens courir, s’enfuir, crier au secours et perdre la vie de façon parfois horrible… Et puis le calme revint… Le silence était de nouveau présent dans l’hôpital… C’est à cet instant précis qu’elle ne pu empêcher la curiosité de prendre le dessus et elle ouvrit discrètement la porte avant de s’engouffrer dans le couloir… C’est alors qu’elle découvrit la salle où tout le monde s’était rassemblé quelques temps auparavant… Au sol se trouvaient les corps inertes de toutes les personnes qu’elle connaissait ici… Elle découvrit sa plus proche amie allongée… Elle s’était pris un coup de feu en plein crâne… Le trou de la balle faisait peut-être le diamètre de son doigt… Elle ne put s’empêcher de pleurer devant le massacre qui se présentait à elle… Elle glissait sur la marre de sang qui s’était répandue sur le sol… Mais qui avait bien pu commettre une telle horreur… Et c’est alors qu’elle porta ses mains à son visage, essayant ses joues voilées de larmes et les regardant… Elles étaient couvertes de sang… Elle n’en pouvait plus, il fallait qu’elle hurle…
Elle avait marché la nuit durant avant de découvrir un panneau délimitant une ville : Williamsport. Cette ville semblait plutôt banale… Accueillante et de toute façon, elle trouvait tout endroit accueillant si elle n’y découvrait pas le carnage qu’elle avait vu dans l’hôpital psychiatrique… Plus jamais ça… Non… « Viens Max… ». La jeune femme pénétra dans la ville et marcha sur le trottoir, repensant à tout ce qu’elle avait vu… Réduire l’humanité en cendres ? Qui pouvait bien dire des choses pareilles ? Elle n’y comprenait rien… Elle avait mal à la tête, elle avait peur, froid, et faim, tellement faim… Elle découvrit un parc discret et s’y aventura, pour trouver un banc confortable où elle pouvait s’allonger pour retrouver quelques heures de sommeil… Elle n’avait rien : Pas d’argent, pas de quoi montrer son identité et en plus elle était couverte de sang et Max’ aussi d’ailleurs… Elle ne pouvait pas se changer… Elle était perdue… Perdue dans un monde devenu bien hostile tout à coup…
❝ i think i'm awesome ❞ ☜ HUMANS ☞ « Tout ce qui se passe ? Je n’en ai été qu’un témoin privilégié ! J’ai vu le monde changer comme si tout se passait bizarrement… Ils me disaient fous, ils n’ont pas vu ce qui s’est passé chez moi… Ils n’ont pas vu ce que j’ai vu… J’ai peut-être perdu les pédales mais je ce n’était pas ma faute alors qui faut-il me blâmer pour tout ça ? Si j’ai pu enfin m’échapper de cet hôpital de malheur c’est bien parce qu'ils n'ont pas pensé que quelqu'un avait décidé de ne pas bouger de sa chambre et avait fait le bon choix. J'ai entendu les cris, les coups de feu, j'ai tout entendu et lorsque je suis sortie j'ai vu le carnage... Mes joues étaient rougies de ça et là par des tâches de sang. Tout le monde est devenu fou là-dedans et pourtant je n’ai rien compris… Je me suis retrouvée dehors et me voilà maintenant en train de réfléchir, j’ai peur, je suis perdue, je ne sais pas où je suis et je ne sais pas qui je vais rencontrer. Moi et Max’ on erre comme des âmes en peine et la première personne qui découvrira mon visage verra peut-être ces tâches de sang vieilles que j’ai eut du mal à enlever de ma tenue… Peut importe… Je n’ai rien fait… Mais eux, si ! Je ne sais pas qui ils sont, ce qu’ils veulent et ce pourquoi ils font tout ça mais je sais qu’ils sont méchants et moi je ne peux rien faire pour les empêcher de m’attaquer… Je rêve encore la nuit, allongée sur un banc, du carnage de l’hôpital psychiatrique… Pourquoi moi ? » c. breatheinspace LJ
Dernière édition par Bamby B. Donovan le Mer 16 Mar - 20:18, édité 18 fois |
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GRAYSON ★ i survive on the memory of you
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:19 | |
| JUMEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEELLE ♥ Trop chou le prénom (a) Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ♥ Si tu as des questions, n'hésites pas (a) |
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N'AMOUR ★ cause i love you darling ♥
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:22 | |
| MARMOTTEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUH OELCOME ! Bonne chance pour ta fiche x) Si tu as des questions, hésite pas ! (a) Maman de Bamby *baff* |
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FEAR ★ I won't do what you tell me
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:22 | |
| MDRRRR J'adore le titre de ta présentation XD Bienvenuuuue à toi, bon courage pour ta fichette *-* |
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NOUVEAU ★ No rank for the moment
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:29 | |
| Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! J'aime le prénom ♥ |
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NOUVEAU ★ No rank for the moment
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:51 | |
| original le prénom, j'adore ! welcome. good luck pour ta fiche. |
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NOUVEAU ★ No rank for the moment
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 16:56 | |
| Ah ! Bamby, ça m'a toujours déprimée u_u
Bienvenue et amuse-toi bien ! Bon courage pour ta fiche ! |
| | | HOFFMAN ϟ The Good and the Devil
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 17:21 | |
| DODYYYYYYYYYYYYYCHE (rigolez pas j'aurais pu dire dos d'âne (a) *out*) couraaaage pour ta fichette !!!!! |
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BB ♔ What if I feel...
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 18:41 | |
| MERCI JE VOUS AIME TOUUUUUUUUUUS |
| | | TWISTED DOLL ♠ dance with the devil
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Dim 13 Mar - 21:07 | |
| Je sens que je vais me faire lyncher mais, je n'ai jamais vu Bambi. Voilà c'est dit. Bienvenue ici sinon, Kaya est juste magnifique ♥ |
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BB ♔ What if I feel...
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Mer 16 Mar - 20:19 | |
| J'ai finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii |
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N'AMOUR ★ cause i love you darling ♥
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Mer 16 Mar - 21:29 | |
| Mon bichon je te lirai tout ça quand tu seras à l'école demain (aaaa) |
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N'AMOUR ★ cause i love you darling ♥
| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? Jeu 17 Mar - 14:48 | |
| CONGRATS, TE VOILA VALIDE par le merveilleux staff de DITDTout est parfait, comme d'hab Ton personnage sera ajouté à son groupe, quant à toi, il te reste quelques petites étapes à accomplir avant de pouvoir jouer correctement sur le forum ★ Pense à aller recenser ton avatar dans le bottin du forum, c'est important si tu ne veux pas te faire voler ta jolie célébrité ! ★ N'oublie pas aussi de générer ta fiche personnage, en allant dans ton profil, en cliquant sur "★ Freaking, fucking surnaturel" puis sur "générer". Une fois ceci fait, n'oublie pas non plus d'aller la personnaliser selon l'expérience de ton personnage. ★ DITD te propose aussi d'ouvrir ton topic des topsites pour faire grimper l'expérience de ton personnage (; ★ Comme sur tous les forums enfin, n'oublie pas l'habituelle demande de logement ou encore de rang spécialisé et autres topics et liensJe finirais par dire, bon jeu à toi Si tu as des questions, n'hésite pas ! Et pense que le flood n'attend que toi pour être encore plus animé x) |
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| Sujet: Re: BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? | |
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| | | | BAMBY ♔ Hey bb, tu m'donnes ton 06 ? | |
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